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La santé camouflée : améliorer votre offre alimentaire… un secret à la fois !
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Entrée en vigueur: 17 nov. 2021
C’est peut-être difficile à croire, mais les fabricants canadiens ont apporté des modifications à leurs produits alimentaires au cours des dix dernières années dans le but d’améliorer la santé et le bien-être des Canadiens… et ce, sans en dire un mot !
Ce concept s’appelle « santé camouflée » (traduction libre de « stealth health »). Il a été inventé par un chercheur de l’université de Yale, le Dr David Katz, qui a eu l’idée de créer des habitudes plus saines pour la vie quotidienne. La santé camouflée peut être définie comme suit : apporter des modifications aux ingrédients ou aux recettes en vue d’améliorer les attributs nutritionnels d’un aliment ou d’un produit, sans le promouvoir ou en faire la publicité.
Ce concept se retrouve sous plusieurs formes :
• Améliorer la densité nutritionnelle (ex. utiliser des farines multigrains et des flocons d’avoine, plus santé) ;
• Utiliser des ingrédients ayant de meilleures vertus santé (ex. l’utilisation massive de canneberges et d’amandes dans les barres-collations) ;
• Réduire ou éliminer les ingrédients plus nocifs (ex. teneur plus faible en sodium ou en gras de certaines collations) ;
• Épurer la liste des ingrédients afin que les consommateurs sachent ce que contient un aliment et puissent nommer chaque ingrédient sans devoir faire de recherches.
Avec toutes ces bonnes nouvelles potentielles, pourquoi les fabricants ne souhaiteraient-ils pas promouvoir les avantages supplémentaires pour la santé ? C’est pour une simple raison : protéger la marque et la perception du client. Les consommateurs pourraient ne pas vouloir que leurs marques préférées changent ; et la dernière chose que les fabricants souhaitent est se mettre à dos leurs clients actuels en imposant des allégations de santé ou la perception qu’un produit n’aura plus aussi bon goût. Les changements de formule dans les recettes doivent être exécutés avec soin et se font souvent de manière progressive. Réfléchissons à l’une des meilleures exécutions de la santé camouflée : l’évolution du biscuit Oreo® vers une formule plus saine.
Au début des années 2000, les risques liés aux gras trans et au niveau élevé d’huiles hydrogénées, utilisées notamment dans l’industrie de la boulangerie et des collations, ont fait l’objet d’une grande attention. À l’époque, Nabisco a annoncé qu’elle s’efforcerait d’éliminer ces huiles malsaines de tous ses produits, et elle s’est attelée à la tâche. En 2006, leur célèbre biscuit Oreo® ne contenait plus de gras trans, mais il n’y a pas eu de grande campagne de marketing pour le souligner ; les ingrédients de l’emballage ont été mis à jour, mais on ne voyait jamais l’étiquette « sans gras trans » sur l’emballage, et les clients n’ont jamais goûté cette différence. Un travail important de développement et de modification de la formule du produit a été effectué pour s’assurer que les clients ne verraient aucune différence notable dans le biscuit Oreo®. Le résultat : une hausse des ventes ! Les anciens clients sont restés fidèles au produit et les consommateurs attentifs aux gras trans ont pu constater, grâce à la liste d’ingrédients, que le biscuit n’en contenait pas ; des ventes supplémentaires ont donc été réalisées.
Certains fabricants ont choisi de tout mettre en œuvre pour promouvoir les avantages supplémentaires perçus pour la santé ; par exemple, les croustilles sont commercialisées comme étant sans cholestérol (surprise, elles l’ont toujours été !). Ce n’est pas en raison de formulations améliorées, mais de l’intérêt des consommateurs pour des collations plus saines que le produit a été commercialisé comme une collation possiblement plus saine.
Qu’est-ce que cela signifie pour vous ? Offrez un choix et un équilibre dans votre offre de produits. Soyez attentif à vos meilleurs vendeurs tout en veillant à ce qu’au moins 10 % de votre offre s’adresse aux clients soucieux de leur santé et qui veulent se faire plaisir sans se sentir coupables.
À la recherche de nouveaux produits « santé camouflée » pour vos distributrices, votre service de café au bureau ou votre micro-marché ? Laissez QUASEP vous aider à trouver la combinaison de produits idéale pour votre clientèle. Bénéficiez des prix exclusifs aux membres sur des centaines d’articles essentiels, conjointement à l’aide d’un Conseiller au service client qui vous est dédié ainsi qu’à une multitude d’outils conviviaux et de ressources utiles pour vous aider à gérer votre entreprise de manière plus efficace.
À propos de l’auteur :
Brian Emmerton est nutritionniste agréé et vice-président et directeur général de QUASEP, un important fournisseur de solutions d’approvisionnement pour les clients non commerciaux et les organisations hôtelières à travers le Canada. Brian travaille depuis plus de 30 ans dans le domaine de la restauration et de la consommation afin d’aider les clients à trouver des options en matière d’alimentation et de nutrition qui leur permettent d’enrichir et de nourrir la vie.
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Une approche globale et sans frais pour motiver votre personnel
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Entrée en vigueur: 3 nov. 2021
Face à la pandémie, des milliers d’employés du secteur des d'employés de l'industrie de la restauration et de l'hôtellerie ont fait preuve d’un niveau de compassion et d’engagement sans précédent envers leurs clients, leurs invités et les uns envers les autres. Cet ennemi commun a servi de point de convergence puissant pour les personnes dans toutes les sphères des entreprises, qui ont joint leurs forces pour combattre la pandémie, vivre des deuils, et au final, célébrer des victoires communes.
De manière générale, la motivation des employés n’était pas problématique. La gravité de la pandémie, incluant la perte de vies et de subsistance, a offert aux gens toute la motivation nécessaire pour rester concentré et bien faire le travail.
Pour les dirigeants, cette expérience amène deux leçons importantes :
1. Vos employés SE SOUCIENT de leur travail !
2. Vos employés sont MOTIVÉS !
Transition vers la période post-pandémique
Et que fait-on maintenant ? Alors que la gravité de la pandémie faiblit, qu’en est-il de la motivation de vos employés ? Avec la neutralisation de l’ennemi commun, le moral des employés peut redescendre au niveau pré-pandémique, ou même s’effondrer davantage. L’épuisement, et le fait de devoir composer avec des contrôles constants et des exigences professionnelles accrues, peuvent miner la motivation des gens à aller plus loin. Il semble que l’attente du retour au « bon vieux temps » est interminable. Ainsi, le maintien de la motivation peut s’avérer problématique pour plusieurs.
Pour les gestionnaires souhaitant guider leurs résidences vers une période de positivité post-pandémique, il est plus impératif que jamais de porter attention à la motivation des employés. Les bons dirigeants savent que leur succès se mesure par la façon dont leurs employés font leur travail; et lorsque la motivation diminue, tout le monde en souffre.
La bonne nouvelle est que, même après tout ce que vous avez traversé, vous pouvez créer dans votre résidence une culture où vos employés sont très motivés, et ce, sans dépenser toutes vos ressources budgétaires. En fait, toutes les stratégies présentées ici sont des approches sans frais pour favoriser la motivation de votre personnel.
Cet article se concentre d’abord sur les deux principaux mythes concernant la motivation humaine, puis examine un processus en trois étapes pour stimuler la motivation de vos employés.
Démystifions deux GRANDS mythes sur la motivation
Mythe #1
Et le premier grand mythe de la motivation est... $$$$. Comme les Beatles l’ont déclaré il y a des années (Can't Buy Me Love), l’argent n’achète pas la motivation. Ce n’est pas en offrant un salaire plus élevé que vous obtiendrez des employés plus motivés, une meilleure productivité ou un meilleur moral.
Dans certaines régions, on a tenté d’avoir un impact positif sur le milieu de travail en versant une prime de pandémie au personnel infirmier de première ligne. Non seulement cette mesure a démoralisé tous les autres employés qui travaillaient d’arrache-pied sans rien recevoir de plus, mais elle n’a pas permis de résoudre le problème fondamental: le manque de personnel pour gérer les responsabilités supplémentaires en matière de soins.
Bien que ce personnel de première ligne ait pu se sentir un peu réconforté par la prime supplémentaire, une recherche informelle menée par Silver Meridian auprès de dirigeants et d’employés a démontré que ces employés auraient aimé avoir plus de « bras » pour accomplir le travail, plutôt qu’une prime pour faire l’impossible. Et bien sûr, puisque tout le monde travaillait à plein régime avant la prime, l’augmentation des salaires n’a pas allégé la pression ni permis de fournir plus de soins et de meilleure qualité.
La question de l’argent et de la motivation comporte un bémol. Si les gens sont sous-payés (c’est-à-dire qu’ils sont moins bien payés que d’autres occupant des postes aux responsabilités comparables), l’absence de paiement est généralement un facteur de démotivation, affectant la productivité et le moral... comme le fait de ne pas verser de prime de pandémie aux autres employés que le personnel soignant de première ligne !
Mythe #2
Et pour le deuxième grand mythe... c’est votre travail en tant que leader de motiver vos employés.
Balivernes ! C’est complètement faux ! Une déformation complète de votre rôle de leader ! En fait, vous avez la responsabilité de motiver une seule personne... VOUS ! Et c’est tout !
Vous sentez-vous soulagé ? Une responsabilité de moins sur votre liste !
Mais qui est responsable de la motivation de vos employés ? Ce sont eux-mêmes ! La réalité est que la motivation humaine vient de l’intérieur. Vos employés sont comme vous; ils font ce qu’ils font parce qu’ils y trouvent leur compte, parce qu’ils veulent quelque chose, parce qu’ils sont inspirés. Nous connaissons l’expression « On peut amener un cheval à l’eau, mais on ne peut pas le faire boire »… à moins qu’il ne le veuille. Qu’est-ce qui l’inciterait à boire ? S’il a soif, alors il boit.
Le rôle des dirigeants est de répondre à la « soif » qui réside en chaque personne - le désir d’avoir quelque chose, de faire quelque chose, d’être quelque chose... tout ce qui les incite à être motivés. Les gens sont motivés à changer lorsqu’ils y voient un avantage pour eux. Ceci nous mène à une certaine vérité universelle.
Un processus en trois étapes pour stimuler la motivation de vos employés
Maintenant que nous avons démystifié ces deux croyances, nous pouvons réfléchir à la manière dont les dirigeants peuvent INSPIRER les autres, et ainsi améliorer la probabilité qu’ils soient motivés à changer.
Nous appelons cette approche « leadership inspiré », car les grands leaders savent que pour susciter le changement chez les autres, ils doivent trouver des moyens de les amener à vouloir changer. Par changement, nous sous-entendons toute action ou réponse différente de ce qui se passe actuellement. Ainsi, si vous souhaitez qu’un employé fasse quelque chose de différent à la suite de changements aux procédures, dans sa façon d’interagir avec les autres (ou avec vous), ou toute autre forme de changement, la solution est de l’inciter à vouloir changer parce qu’il y voit un avantage.
Voici donc les trois étapes pour stimuler la motivation de vos employés :
1. Étape 1 : regardez à l’intérieur de vous-même
2. Étape 2 : surveillez ce que vous faites
3. Étape 3 : répondez à ce qu’ils font
Les deux premières étapes portent sur ce à quoi vous devez réfléchir en vous-même, afin de devenir un leader qui inspire la motivation chez les autres. La troisième étape se concentre sur les gestes concrets que vous pouvez poser avec les autres; des gestes qui associent la façon dont vous vous projetez à ce que les gens considèrent comme des avantages qui favorisent leur motivation.
Étape 1 : Regardez à l’intérieur de vous-même
En période de stress et d’incertitude, comme celle que nous vivons présentement, il est normal de se sentir anxieux, frustré, dépassé et même effrayé. Il y a de fortes chances que la plupart des gens dans votre entourage aient eu des réactions émotionnelles similaires. Ignorer ces sentiments peut entraîner des débordements sporadiques, apparemment sortis de nulle part... ou encore, à tout le moins, des signes subtils de frustration ou de peur (réponses physiques involontaires, comme des soupirs, des regards exaspérés ou détournés).
Lorsqu’on subit un tel stress, il est facile de se contaminer mutuellement par l’anxiété et la peur. En tant que leader, il est impératif que non seulement vous affrontiez ces sentiments, mais que vous preniez les devants et que vous vous engagiez consciemment à les contrer par des réponses plus positives en vous.
La première étape pour contrer de tels sentiments, afin d’agir de manière à inspirer les autres, consiste à regarder en vous-même et à rechercher ce qui est le plus important pour vous. En vous concentrant sur vos espoirs et vos aspirations positives, vous pouvez recadrer vos pensées et vos perceptions à propos de ce qui se passe autour de vous.
Voici quelques questions fondamentales à méditer dans ce voyage intérieur personnel (nous expliquerons les chiffres sous peu !) :
• Qu’est-ce que je valorise le plus ? (3)
• Qu’est-ce qui m’inspire, m’allume ? Qu’est-ce que je veux faire de plus ? (2)
• Qu’est-ce qui me rebute ? (3)
• Comment aimerais-je être perçu en tant que leader ? (1)
• Où aimerais-je être dans ma vie dans les 3 à 5 prochaines années ? (2)
La réponse à ces questions vous guidera vers ce qui vous inspire et vous motive.
À partir de ce point de réflexion, prenez quelques minutes pour associer vos réponses aux éléments suivants : (1) la mission, (2) la vision et (3) les valeurs de votre établissement. À l’aide des chiffres (1, 2 et 3), faites correspondre vos réponses à la mission, la vision ou la valeur de votre résidence. Bien que votre mission, votre vision et vos valeurs personnelles ne soient pas nécessairement identiques à celles de la résidence, vous recherchez une certaine concordance. Tant qu’elles ne sont pas en opposition les unes aux autres, vous savez que vous travaillez au bon endroit.
Il est essentiel de réfléchir en profondeur sur vos points d’inspiration personnels, pour déterminer ce qui vous motive. Avant de passer à la deuxième étape de ce processus de motivation, vous devez véritablement explorer ce qui est le plus important pour vous.
Étape 2 : Surveillez ce que vous faites
Si la première étape vous a aidé à vous concentrer sur vos inspirations, la seconde consiste à porter attention à ces points d’inspiration personnels !
Cela nous rappelle l’histoire (attribuée aux Cherokees) de la conversation entre un aîné et un jeune enfant. L’aîné cherokee parlait à son petit-fils de la bataille qui se déroule à l’intérieur des gens. Il a dit : « Mon petit, un combat se livre entre les deux loups qui vivent à l’intérieur de nous tous. Le premier est le malheur : la peur, l’inquiétude, la colère, la jalousie, le chagrin, l’apitoiement sur soi, le ressentiment et l’infériorité. L’autre est le bonheur. C’est la joie, l’amour, l’espoir, la sérénité, la bonté, la générosité, la vérité et la compassion. » Lorsque l’enfant demanda « Lequel gagne ? », l’aîné répondit : « Celui que tu nourris. »
Bien qu’il soit difficile de rester dans cet état de « bonheur » positif durant les périodes de forte demande et de stress, nous pouvons prendre des mesures pour nous protéger de ces contaminations émotionnelles en nourrissant le loup positif qui sommeille en nous.
Par exemple, surveillez et réduisez la fréquence à laquelle vous vous engagez dans des avenues où la peur se multiplie, comme les médias sociaux, les nouvelles en continu et les conversations négatives avec des amis et collègues. Vérifiez vos sources; faites une distinction entre les personnes qui émettent des hypothèses et celles qui disposent d’informations fiables.
Prenez également soin de votre santé mentale. Engagez-vous à faire de l’exercice, à pratiquer la pleine conscience et la méditation, à faire du bénévolat et à rechercher des liens positifs et de qualité avec les autres, même s’ils sont virtuels. De simples pratiques de bien-être comme celles-ci vous aideront à renforcer votre résilience et votre positivité, ce qui influencera la façon dont les autres vous perçoivent.
Étape 3 : Répondez à ce qu’ils font
Maintenant que vous vous êtes clairement concentré sur ce qui vous inspire et que vous vous êtes engagé à nourrir votre loup intérieur heureux et positif, vos gestes et vos interactions avec les autres seront plus inspirants pour ceux avec qui vous travaillez et que vous dirigez chaque jour.
Gardez à l’esprit que les stratégies et approches ci-dessous ne se suivent pas, et qu’elles sont souvent utilisées avec succès grâce à un « mélange » d’interactions.
Dirigez avec optimisme : Même dans des circonstances graves, vous pouvez toujours diriger avec optimisme et contribuer à la résilience de votre équipe dans l’incertitude. Tout d’abord, soyez un modèle. Les belles paroles ne suffisent pas. Gardez aussi en tête qu’il est plus facile d’adopter une attitude positive en groupe, et aidez vos employés à développer leurs rapprochements.
Cela peut être aussi simple que :
- Célébrer lorsqu’une équipe ou un service atteint une étape importante.
- Commencer les réunions en demandant à chaque personne de nommer quelque chose pour laquelle elle est reconnaissante.
- Revoir les progrès accomplis : afficher au tableau les réalisations du jour 1, jusqu’à aujourd’hui.
- Créer un « mur d’appréciation » où chacun peut afficher des messages d’encouragement.
- Partager et célébrer les bonnes nouvelles, à l’interne comme à l’externe.
À titre de leader, vous avez la possibilité de créer les conditions pour une attitude positive au sein de votre équipe. Profitez-en.
La gestion au fil des promenades et des discussions (MBWTA – Managing By Walking and Talking Around) : Idéalement, donnez-vous pour mission de sortir de votre bureau et d’entrer en contact avec vos employés au moins deux fois par jour. Même dans les meilleurs moments, il peut être difficile de s’extirper de la pile de tâches à accomplir. Mais tout comme vous détestez les soins aux résidents axés sur les tâches, vous devez vous recentrer sur ce qui est le plus important et vous rapprocher des gens. Sinon, vous vous comportez comme un gestionnaire axé sur les tâches, et non comme un leader.
En outre, ce style de gestion vous permettra de ressentir plus aisément si quelque chose ne tourne pas rond. En traitant les problèmes au moment même, lorsqu’ils sont mineurs, vous gagnerez du temps et éviterez d’avoir à les traiter plus tard, lorsqu’ils seront devenus majeurs.
Soulignez les bons coups (CPDTR - Catch People Doing Things Right) : Nous savons que vous le faites maintenant, mais le faites-vous bien, et suffisamment ? Lors des séances de formation, nous demandons souvent aux participants de lever la main s’ils en ont assez de se faire dire qu’ils font du bon travail. En réalité, tout le monde aime être reconnu et apprécié comme un membre respecté de l’équipe de soins, et le fait de reconnaître ce qui est apprécié incite les gens à le faire encore plus. La pratique de louanges est l’un des comportements les plus efficaces qu’un leader puisse adopter pour inspirer positivement les autres.
Voici quatre suggestions simples qui permettent de faire des compliments plus efficaces et plus percutants :
Félicitez des comportements spécifiques; concentrez-vous sur ce que la personne a fait ou dit, en évitant la généralisation.
Associez le compliment aux valeurs de votre résidence.
Félicitez-les immédiatement - n’attendez pas leur évaluation annuelle !
Félicitez les gestes « de routine »: les bons soins dans les établissements de SLD n’ont pas lieu lors de situations dramatiques, mais plutôt via de petits gestes attentionnés qui sont significatifs pour les résidents.
Posez des questions; écoutez plus; parlez moins : Les gens sont inspirés et motivés lorsqu’ils se sentent valorisés et respectés pour leur contribution. Demander aux gens comment ils vont, ou leur demander des suggestions, ne sera efficace que si vous écoutez et démontrez un intérêt pour ce qu’ils disent. En posant des questions, vous encouragez les employés à faire partie de la solution, et participer à la solution est une source de renforcement et d’inspiration pour la plupart des gens !
Améliorer le moral avec les remerciements : Étroitement liées au CPDTR, ne sous-estimez pas le pouvoir des récompenses symboliques, comme les notes personnelles de remerciement. Pour maximiser leur effet, il est essentiel de personnaliser ces récompenses en fonction de chaque contexte. Posez-vous la question : êtes-vous le meilleur messager, ou l’expression de votre gratitude aurait-elle plus d’impact si elle venait de quelqu’un d’autre ? Quel est le meilleur moment pour transmettre le message ? Et doit-il être communiqué en privé ou en public ? Quelle que soit votre décision, votre message peut être court et gentil, tant qu’il est sincère. Lorsque les employés sentent qu’il est sincère, un geste symbolique de reconnaissance peut avoir un grand impact.
Entrez dans LEUR résidence : Portez vos expressions de gratitude et de louanges à un niveau encore plus élevé en les envoyant au domicile de l’employé. L’envoi d’une note de reconnaissance personnalisée ou d’une carte d’anniversaire avec un message personnel au domicile de l’employé est un moyen efficace de partager vos louanges et de faire en sorte que la personne soit considérée comme spéciale par les personnes qui comptent le plus pour elle. Écrire un message à la main (tout comme le nom et l’adresse sur l’enveloppe), c’est la touche finale pour personnaliser votre message !
La vision de notre résidence : La vision idéale d’une résidence ne porte pas sur ce qu’est votre résidence, mais sur un objectif réaliste de la façon dont votre résidence souhaite être perçue à l’avenir. En renforçant cette vision, en lui donnant vie dans votre pratique quotidienne, elle peut servir de cri de ralliement inspirant pour tous. Lorsque vous incorporez la vision de votre établissement dans vos discussions quotidiennes, vous direz des choses comme « Comment cela va-t-il nous aider à progresser dans notre vision ? », ou « Super ! cela nous rapproche de notre vision... ».
De telles reconnaissances renforcent la direction prise par l’établissement et offrent l’occasion d’inspirer les gens, car ils réalisent qu’ils vous aident à avancer ensemble.
Aidez votre équipe à franchir la ligne d’arrivée : Fatigue pandémique. Brouillard mental. Flou entre vie professionnelle et vie privée. Quel que soit le nom que vous lui donnez, il se peut que vous et vos employés le viviez en ce moment.
En tant que leader, il est impératif que vous aidiez chacun à se recentrer sur ce qui est important à long terme, et non seulement sur ce qui est urgent en ce moment. Cette myopie peut conduire l’équipe à l’échec une fois la crise passée. Cela rejoint l’importance accordée à la vision de la résidence, mentionnée ci-dessus. La vision aide les gens à voir au-delà des obstacles immédiats, vers un objectif à plus long terme.
Faites de la place aux petites folies : Bien qu’il faille s’acquitter des tâches essentielles au travail, il est important de prendre quelques instants pour s’amuser et se détendre à l’occasion. Déclarer un moment pour s’amuser et rire spontanément, par exemple en faisant des grimaces pendant quelques minutes ou en partageant un moment embarrassant de son adolescence, peut aider à atténuer les tensions de la journée. Il peut être utile d’en préciser la durée dès le départ, afin d’encourager les participants à ne pas se laisser emporter trop longtemps. Essayez de faire du moment un élément « égalisateur », soit quelque chose que tous peuvent faire, peu importe leur poste ou degré d’éducation. Et peut-être le plus important, assurez-vous que vous prenez aussi part à la folie !
Conclusion
Les bons leaders reconnaissent que leur rôle est d’inspirer les autres, de sorte qu’ils soient motivés à exceller. Motiver les autres à changer n’est pas quelque chose que vous pouvez acheter ou exiger en tant que dirigeant. Il s’agit plutôt de vos convictions en tant que leader, de ce que vous projetez et de ce que vous faites pour inspirer les autres, afin qu’ils veuillent changer.
Il ne s’agit pas de dépenser de l’argent pour motiver les gens.
Il s’agit d’être un leader inspirant.
À propos de l’auteur
Ron Martyn est le co-propriétaire de Silver Meridian. Depuis plus de 20 ans, Silver Meridian aide les directeurs d’établissements de SLD à affiner leurs compétences en matière de leadership, en responsabilisant et en stimulant les gens, et en étant reconnus à titre de leaders inspirés en matière de prestation de soins (en anglais seulement). L’approche Silver Meridian des pratiques de leadership est facilement transferable à d’autres secteurs. Rendez-vous sur Silver Meridian (https://silvermeridian.com/training-focus/) pour voir la liste complète des options de leadership et des solutions à vos défis de leadership.

Le sucre, un ennemi à abattre ?
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Entrée en vigueur: 13 oct. 2021
Depuis plusieurs années, les risques pour la santé associés à l'alimentation des Canadiens font l'objet d'une grande attention. Après l'attention accrue portée au sodium et à la consommation de sel, le sucre semble être le prochain sujet de préoccupation.
Pourquoi le sucre devient-il le prochain "mauvais" ingrédient ? Le fait est que nous aimons tous le goût sucré et le plaisir que procurent les sucres naturels (le sucre des jus de fruits) et ajoutés, que l'on retrouve abondamment dans de nombreux produits pour en rehausser le goût, dans nos aliments préférés. L'augmentation des taux d'obésité, en particulier chez les jeunes enfants, l'augmentation de l'incidence du diabète et des maladies cardiaques, les nouvelles tendances de régime axées sur l'élimination du sucre, comme le régime cétogène, et l'attention accrue portée aux ingrédients et aux sources alimentaires ont attiré l'attention sur cette catégorie potentiellement très mauvaise !
Mais la véritable question est celle-ci : consommons-nous réellement trop de sucre ? De nombreux experts de la santé affirment que oui ; mais croyez-le ou non, certaines tendances intéressantes montrent que nous consommons moins de sucre qu'auparavant :
• La quantité totale de sucre ajouté consommée au Canada a diminué au cours des 20 dernières années. Les préférences alimentaires et les apports ont changé, tandis que les ingrédients et les formules contenant du sucre ont aussi bénéficié de légères réductions. La multiplication des substituts du sucre a considérablement augmenté, tout comme la variété de produits hypocaloriques (notamment les boissons gazeuses sans sucre), alors que les consommateurs recherchent des options moins caloriques offrant la même sensation sucrée.
• Les Canadiens consomment en moyenne 30 % moins de sucre que leurs homologues américains. Cela est principalement dû à une consommation moindre de boissons gazeuses régulières. Est-ce parce qu'il y a moins de choix ou parce qu'il y a une plus grande quantité de boissons hypocaloriques ? La réponse est non. Les Canadiens choisissent simplement plus souvent de l'eau ou des boissons non sucrées; et n'oubliez pas que la consommation d'eau et d'eau gazeuse continue d'augmenter !
Ces dernières années, certaines provinces ont tenté de contrôler la consommation de sucre par le biais de programmes de santé tels que des directives et normes relatives à l'alimentation dans les écoles. Ces règlements ont affecté la capacité des industries à offrir des choix conventionnels dans les distributeurs automatiques et les zones de libre-service. Dans l'ensemble, le Canada n'a actuellement aucune directive nutritionnelle concernant la quantité de sucre que les Canadiens devraient ou ne devraient pas consommer ; mais Santé Canada suggère de choisir des aliments avec peu ou pas de sucres ajoutés.
Par conséquent, quel sera l'impact sur nos activités à l'avenir ? Les nouvelles exigences de Santé Canada en matière d'étiquetage nutritionnel, qui font l'objet de travaux depuis des années, devraient être complètement adoptées d'ici le 31 décembre 2021. Outre le fait que le sucre doit obligatoirement apparaître sur l'étiquette nutritionnelle, les exigences en matière d'emballage changeront aussi en vertu de cette nouvelle législation, car les symboles indiquant qu'un produit est riche en sucre devront être identifiés. C’est un dossier à suivre !
Comment faire en sorte que notre secteur d'activité prospère malgré ces possibles obstacles ? Voici quelques éléments auxquels il faut porter attention :
• Choix et sélection. En offrant aux clients choix et sélection dans toutes les catégories, vous leur proposez une variété d'options sans sucre ajouté ou naturel. Les achats impulsifs et les offres régulières peuvent vous aider à illustrer votre engagement envers les choix santé. Certains clients peuvent rechercher des sources de sucre naturelles (p. ex. : miel) de préférence. N'oubliez pas de présenter un assortiment de collations sucrées et salées dans votre section d'achats impulsifs de vos micromarchés, dans les zones de présentation, ainsi que dans les ensembles combinés que vous offrez.
• Des options sans sucre : Cette tendance est en croissance ; nous recommandons que 20 % de vos boissons offertes soient sans sucre (par exemple, de l'eau, des boissons à base d'eau gazeuse comme Bubly) ou hypocaloriques. Cela peut sembler beaucoup, mais sur l'ensemble de votre portfolio, c'est très simple à réaliser.
• Dites oui au thé ! Il y a une belle occasion de mettre l'accent sur le thé, qui est actuellement une catégorie en pleine croissance. La consommation de thé chaud et glacé continue d'augmenter et offre de fortes opportunités de revenus tout en proposant des choix bénéfiques pour la santé (et des saveurs exotiques intéressantes).
Que vos clients aient un penchant pour le sucré ou le salé, il est essentiel de rester à l'affût des tendances. Cela peut contribuer à maintenir l'intérêt de vos clients, à démontrer que vos services reflètent les forces actuelles du marché, et à procurer un avantage concurrentiel à votre entreprise.
À propos de l’auteur :
Brian Emmerton est diététicien agréé et vice-président et directeur général de QUASEP, un important fournisseur de solutions de chaîne d’approvisionnement pour les clients non commerciaux et le secteur de l’hospitalité au Canada. Brian travaille depuis plus de 30 ans dans le domaine de la restauration et de la consommation, et aide les clients à trouver des options en matière d’alimentation et de nutrition qui leur permettent de vivre des expériences enrichissantes et nourrissantes.

De l’eau, toujours de l’eau!
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Entrée en vigueur: 1 sept. 2021
Sans surprise, l'eau reste la boisson non alcoolisée la plus populaire au monde et la boisson la plus demandée en Amérique du Nord. Mais comment un produit aussi abondamment disponible à chaque robinet peut-il devenir l'une des principales sources de revenus pour nous ? L'industrie de l'eau continue de progresser, et bien que les promoteurs du plastique à usage unique et d'autres groupes d'intérêt invoquant des préoccupations environnementales aient attiré l'attention sur cette catégorie, les ventes de cet or bleu continuent d'augmenter.
L'eau demeure le meilleur moyen de s'hydrater et de s'assurer que le corps dispose de suffisamment de liquides pour assurer son bon fonctionnement. Les recherches Google sur l'hydratation ont doublé depuis 2015 et il existe même des applications pour vous rappeler quand boire de l'eau. Boire plus d'eau est véritablement une question d'hydratation dans le cadre de la tendance au bien-être.
Savez-vous ce qui pousse les gens sur les lieux de travail à acheter une boisson ? Cela peut vous surprendre, mais la simple faim ou soif n'est pas la raison principale. Selon Foodservice Monitor, les clients choisissent des aliments et des boissons sur le lieu de travail pour les quatre grandes raisons suivantes :
- Ressourcement mental : Il ne s'agit pas toujours d'une boisson caféinée ; il peut aussi s'agir d'une nutrition rapide (par exemple, un jus de fruits) ou d'une pause qui donne un regain d'énergie (par exemple, une pause d'eau).
- Soif et faim : Les clients se tourneront vers des produits de secours comme les bouteilles d'eau.
- Fringales-récompenses et : C'est là que d'autres boissons à base d'eau entrent en jeu, comme l'eau gazeuse, y compris les boissons gazeuses aromatisées (comme Bubly) qui aident à équilibrer les fringales et les intérêts nutritionnels.
- Confort : Vendre les marques que les gens aiment pour qu'ils en redemandent.
Notre amour de l'eau a-t-il diminué ? Pas du tout ! L'eau en bouteille continue d'être un des meilleurs vendeurs sur les lieux de travail, dans les stades, les collèges et les universités, parce qu'elle répond à une variété de besoins, tout en offrant nutrition, hydratation, commodité et portabilité. La catégorie de l'eau continue à se développer ! Surveillez ces deux tendances à l'avant-garde et assurez-vous que votre offre de boissons reflète ce secteur en pleine expansion :
- Eau pétillante : Alors que la catégorie globale des boissons gazeuses continue son déclin, la croissance de l'eau pétillante poursuit sa tendance à la hausse. Pourquoi cette popularité ? L'eau pétillante répond à plusieurs besoins de la clientèle - un ressourcement mental, une nutrition équilibrée, des fringales-récompenses, du confort, et de nombreuses prétentions en matière de santé qui affirment que la gazéification permet aux bulles pétillantes de remplir votre estomac et de faire croire à votre cerveau que vous êtes rassasié. Dans l'ensemble, le principal avantage reste l'hydratation.
- Eau alcaline: Croyez-le ou non, le prix élevé (et le potentiel de revenus plus élevés) ne peut être ignoré dans cette tendance grandissante. L'eau alcaline a un pH plus élevé que l'eau potable traditionnelle (elle est aussi appelée eau ionisée). L'eau alcaline est présentée comme améliorant l'énergie et équilibrant le niveau de pH du corps. Certains prétendent qu'elle peut neutraliser l'acide dans le sang, contribuer à la santé des os et certaines études ont également vanté les avantages de la prévention de maladies telles que le cancer et les maladies cardiaques ; cependant, même s'il existe très peu de preuves crédibles pour soutenir ces affirmations, les ventes continuent à grimper !
Tout est une question d'exposition : l'eau doit être toujours accessible pour que vous puissiez maximiser vos revenus. Veillez à ce que vos options d'eau soient en évidence dans chacune de vos machines et présentoirs ; dans les micromarchés ou les zones à libre-service, l'eau plate à température ambiante est toujours une occasion d'encourager les achats complémentaires pour une consommation ultérieure. Optimisez votre espace en plaçant un panier de bouteilles près des caisses.
À propos de l’auteur :
Brian Emmerton est diététicien agréé et vice-président et directeur général de QUASEP, un important fournisseur de solutions de chaîne d’approvisionnement pour les clients non commerciaux et dans le secteur de l’hospitalité au Canada. Brian travaille depuis plus de 30 ans dans le domaine de la restauration et de la consommation, et aide les clients à trouver des options en matière d’alimentation et de nutrition qui leur permettent de vivre des expériences enrichissantes et nourrissantes.
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